Imagination quand tu nous tiens ..

déjà vu quelque part, mais je voudrais lancer un pti jeu !

voila chacun a la suite de l'autre ecris 5lignes, des vraies lignes comme elle sont sur vos fenetre lorsque vous répondez au topic, 5lignes minimum bien sur !
et ainsi de suite on va crée une histoire comme sa, bien sur vous etes libres de votre écriture (attention libre mais pas obscène, diffamatoire, et surtout pas de politique !!), chacun fait ce qu'il veut du personnage crée, le prochain a ecrire doit se demmerder et faire travailler ses méninges pour avoir une suite !
il n'y a pas de tour précis vous ecrivez quand vous voulez mais vous n'ecrivez pas après vous même!

capiche ?
c'est parti !


On dit que toutes les belles histoires commencent par "il était une fois", bon la en l'occurence c'est ptete pas une belle histoire puisque je n'ai pas dit "il était une fois"...
Un personnage nait de ce forum que va t'il lui arriver?
déjà il se balade, se promene mais est ce un homme ou une femme ?
voila maintenant que le personnage pointe le bout de son nez sur un topic, se faisant nommer "Imagination quand tu nous tiens .."
imagination tiens nous et laisse nous vagabonder dans nos esprit laisse ce petit personnage naitre de toi, confie le nous et vois ce que tu en fais...

Cet étrange personnage prit la direction du Casino Tangier sans y avoir été invité. Une sorte de chapeau à larges bords couvraient sa tête, et ses vêtements étaient si amples qu'on ne remarquait pas ses formes humaines. Vu de loin, ce n'était qu'un sac de vêtements.
Un bras se détacha de ce sac, pour aller cogner avec force les grandes portes du Casino. Les mafiosi qui étaient assis au bar se regardèrent interloqués. Personne ne savait que cet endroit était encore en activité. Mais laissez moi vous parler du bâtiment.

Lorsque l'on était dans la rue des Néfliers, on ne voyait que des batiments désaffectés, vides, en ruines pour la plupart. Le Tangier ne dérogeait pas à la règle. Même s'il avait l'air de tenir encore debout, la peinture n'avait pas été refaire depuis des lustres, et les plus vieux habitants de la ville ne se souvenaient même plus avoir vu un jour les grandes lettres de néon allumées.
Mais l'intérieur faisait preuve d'un tout autre visage. Dès lors qu'on franchissait les portes, on voyait que le Casino était encore en activité. La fumée de cigares ne paraissait jamais quitter le lieu, les lumières étaient presque aveuglantes.
Sur la droite se tenait les salles de jeux. Roulettes, machines à sous (désormais en panne), tapis de poker, de black jack, et encore d'autres tables inoccupées jonchaient le sol.
Sur la gauche se tenait le bar, véritable lieu de rendez-vous de la mafia locale. Les billards avaient été déplacés pour être dans la même pièce. Derrière le comptoir, les rangées de bouteilles ne semblaient jamais finir. En effet, El Padrino et Gato', les deux souverains, faisaient attention à leurs peu nombreux collaborateurs en leur offrant à boire plus qu'il n'en faut. Ils étaient aussi portés sur la bouteille, surtout celle de Jack Daniel's, leur boisson de prédilection.

Justement, Gato' était en train de se siroter un whisky, lorsque l'inconnu tambourina. Il regarda autour de lui, et vit Iron Beubeu qui buvait une boisson étrange, ainsi que Nightmare et Fanch-NY qui jouaient aux cartes. Lequel allait-il prier d'aller voir? Son choix se porta Iron Beubeu, qui prit aussitôt son arme de "service" et le chemin de l'entrée. Les mots n'étaient pas forcément nécessaires ici, les signes de tête suffisaient amplement...

Dans le silence le plus total, Iron Beubeu avançait, l'arme au poing. Fanch-NY et Nightmare s'arrêtèrent de jouer et placèrent une main sous la table...
c'est à ce moment que l'on vit sortir des pièces adjacentes, Neurinome et LEgob', la mitrailleuse au poing. El padrino continuait de fumer son cigare dans son bureau et Gato' lui resservait un verre de Jack Daniel's lorsque Iron Beubeu arrivait à la porte...

Il n'eut pas le temps de tourner la poignée, car la porte s'ouvrit brutalement et heurta le mur avec fracas.
Les occupants du bar sursautèrent; même El Padrino, que rien n'effrayait jamais, failit lacher son verre.
L'inconnu se tenait dans l'embrasure de la porte, le visage dissimulé par les larges bords de son chapeau. Il gardait les mains cachées dans les replis de ses vêtement, comme s'il était près à en faire surgir un couteau d'un instant à l'autre.
Un épais silence régnait dans le casino. L'inconu fit un pas en avant.
Iron Beubeu claqua la porte derrière lui et lui pointa le canon de son pistolet entre les deux omoplates.

Sous les bouffé de cigare du Padrino, l'inconnu regarda la piece, devisagea un a un ses occupants, il senti le poids du canon de beubeu entre ses omoplates, mais cela ne l'effrayait pas, il continua a contempler cette piece mi deserte mi occupé...
Son regard s'arreta sur Gato', qui lui même s'arreta de boire, tous deux resté fixé yeux dans les yeux, beubeu pointa son revolver de plus en plus fort sur l'inconnu, persuadé que depuis tout a l'heure ce dernier n'est pas au courant de ce qu'il a pointé sur lui...

l'inconnu retira son chapeau, se mit sous la lumiere...

C'était un étranger venu des U.S.A, son patron lui avait demandé de prendre contact avec le réseau européen pour faire des affaires.
Iron Beubeu abaissa alors son arme tout en restant sur ses gardes.
L'inconnu s'approcha alors de Padrino, Legob', méfiant, saisit sa mitrailleuse et regardait attentivement la scène.
Gato' dégaina a son tour et posa son revolver sur le comptoir pour montrer a l'inconnu qu'il était prèt en cas de problème.
Beubeu fouilla alors l'inconnu sous l'oeil attentif de Gato' et Legob', il n'avait rien à part une grosse liasse de billets dans la poche droite de son pantalon.
Padrino l'accueillit donc comme il se doit.
L'inconnu donna un papier, signé par Capone lui meme, avec les conditions pour un contrat et une union qui rendrait les deux mafias plus fortes et le commerce plus facile.
Padrino était très flatté que Capone s'intéresse a lui, car il existait plusieurs réseaux qui se faisaient la guerre depuis plusieurs années déja.
Padrino accepta sans hésiter car il savait qu'avec l'aide de Capone il prendrait le monopole en Europe et écraserait ses rivaux !
Avant tous il envoya des indic' vérifier si des propositions similaires n'avaient pas été faites aux autres clans.
Mais Capone était honnête il avait bien choisi Padrino.
Après avoir discuté longuement, Padrino fit signe a Legob' et Beubeu d'aller racompagner l'homme a son hôtel !

A quelques kilomètres de là, l'agent de police Mcflyeuse sirotait tranquillement un café sur le pare-choc encore chaud de sa vieille décapotable poussiéreuse. Rien ne semblait pouvoir troubler son calme, ici, seule dans le désert, uniquement accompagnée de son thermos et de son énorme radio de police. Celle-ci se mit d'ailleurs à crépiter, puis les sons incompréhensibles se transformèrent en phrases : son supérieur souhaitait sans doute qu'elle s'occupe d'une affaire quelconque de vol ou de disputes matrimoniales. Rien de bien passionnant, en tout les cas. Elle régla quelques boutons et put communiquer sans trop de problèmes avec le comissaire. Celui ci lui annonça d'un ton affolé qu'elle ne lui connaissait pas que le vieux casino était la planque de mafiosi et qu'elle devait à tout prix se rendre sur les lieux, sans quoi la capture des mécréants risqueraient fort de tourner au massacre.
En effet, avant de devenir une simple policière chargée de régler les problèmes des bouseux de cette vieille campagne, elle était...négociatrice.
Avec un sourire satisfait, elle écrasa son gobelet entre ses mains et le jeta sur la banquette arrière, s'installa devant le volant, et démarra en trombe, projetant un nuage de poussière sur le peu de buissons qui bordaient la route.
Peut-être allait t-elle enfin vivre les moments palpitants auxquels elle s'attendait en entrant dans la police...

Alors que McFlyeuse fonçait sur la route obscurcie, une voiture arriva en sens inverse, et la dépassa sur les chapeaux de roue.
La jeune policière se promit de régler son compte à ce chauffard dès qu'elle en aurait fini avec sa mission, et écrasa l'accélérateur.
Mais si elle avait jeté un oeil dans son rétroviseur à ce moment précis, elle aurait vu que la voiture qui venait de la croiser avait effectué un demi-tour en épingle à cheveux, et roulait à présent à quelques mètres derrière elle, phares éteints.
L'homme qui conduisait la voiture venait de quitter un bar solitaire au beau milieu du désert, dans lequel il avait eu à traiter une importante affaire.
La présence d'une voiture de patrouille empruntant l'unique voie mal entretenue qui conduisait à ce bar lui semblait un danger infiniment plus grand que le canon des mitraillettes qu'on avait pointés sur lui peu de temps auparavant.
Il devait s'assurer que la police ne mette pas son nez dans ses affaires, et celles de ses nouveaux associés.
L'homme caressa sa barbe d'un air pensif et rajusta son chapeau à larges bords, pour se dérober à la vue de le conductrice qu'il suivait.
La nuit les engloutit tous les deux.

Voici alors qu'une fusillade commença entre Mc Flyeuse et les trois mafieux ( Iron Beubeu, Legob' et l'inconnu, oui je vous rappelle qu'ils partent ensemble du bar ) .
La voiture de Mc Flyeuse ne fit pas long feu contre les rafales de mitraillette et les chevrotines de fusil a pompe !
La voiture de police s'encastra alors dans un arbre !
Mc Flyeuse complètement secouée sortit alors les mains en l'air en craignant de se faire abattre !
Mais les mafiosi ne voulaient pas tuer une inspectrice de police!
Iron Beubeu la ligota pendant que Legob' surveillait les alentours !
L'inconnu, lui, était resté au volant près a partir !
ensuite Iron Beubeu enferma McFlyeuse dans le coffre et les 3 mafiosi reprirent leur chemin vers le café pour y déposer l'agent et changer de voiture. ...

Arrivé sur place, ils tinrent au courant Padrino de cet évènement, avec un flegme et un sang froid qui lui est propre, il décida de mettre Mc Flyeuse dan la cave, et d'envoyer Neurinome la fouiller...
Cette derniere trouva, son arme de service, une autre à sa cheville, un flask de JD, et un paquet de cigarettes vide avec un numéro de téléphone dessus...
Mc Flyeuse se fit ficeler sur la chaise avec une corde par Beubeu, sous l'oeil attentif de Gato', toujours méticuleux avec ce genre de détails...
Neurinome remonta au bar, chuchota quelque chose à Padrino et ce dernier descendit a son tour, parler avec Mc Flyeuse...
Elle l'entendit descendre les marches, et sourit intérieurement, son plan a bien fonctionner, emprunter seule la route qui menait au Tangier's, elle savait pertinemment que les bras droits de Padrino ne mettraient pas longtemps à mettre la main sur elle...

La discussion peut commencer ...

Pendant ce temps, LEgob' et l'Américain reprirent la route au volant de la Cadillac d'El Padrino, alors la seule voiture "discrète" (sans impact de balles). LEgob' raccompagna l'américain jusqu'à sa chambre d'hôtel, en redescendant, il croisa l'un des anonymes employés par Padrino, et lui donna comme consigne de veiller sur l'étranger tout en évitant de se faire remarquer. Le jeune homme compris très vite qu'il devrait protéger l'Américain, tout autant qu'il devait surveiller ses déplacements. Padrino demanderait rapidement un rapport précis et détaillé, et s'il voulait trouver une place au Tangier, il savait ce qu'il lui restait à faire...

LEgob' venait d'arriver au Tangier, le bar était vide et il dût se servir son Jack's lui-même. Quelques sons lui parvenait du sous-sol où était attachée l'agent de police McFlyeuse... Padrino et les autres devaient être en train de la cuisiner, peut-être ferait-il mieux d'aller les rejoindre. Qui sait? Son talent particulier pour faire parler les ennemis de Padrino pourrait toujours être utile....

Padrino voulait savoir ce que la police savait sur leur affaire !
McFlyeuse ne répondait pas, pourtant Nightmare, le pro de la torture, préparait tous son équipement !
Tout a coup Neurinome entra en vitesse dans le bar, alertant ainsi Legob' qui buvait tranquillement, et cria:
- Les flics arrivent avec l'armada faut se tirer d'ici !
Beubeu prit alors McFlyeuse et l'emmena dans la voiture puis prit le volant, et, accompagné de Neurinome et de Nightmare, partit aussitôt.
Legob' lui mis trois bombes dans le Tangier et alla rejoindre Gato' et Padrino qui s'apprêtaient à partir !
Ils se retrouvèrent dans un hangar où personne ne venait jamais et ils y seraient tranquille pendant quelque temps !

Lorsque les agents de police entrèrent dans le tangier tout explosa et le Tangier fut détruit, ainsi que toutes les preuves qui s'y trouvaient !

Quelques heure plus tard, Gato' et Legob raccompagnèrent Padrino dans sa villa. Ils restèrent avec une dizaine d'hommes pour veiller sur Padrino !
En effet, c'est dans les situations de crise que les groupes rivaux attaquent...

Padrino, se mit a sa fenetre pour reflechir a tout ça ...
Il lui restait Mc Flyeuse a questionner, il n'a pas vraiment eu le temps de savoir quoi que ce soit avant que les flics débarquent...
Il ne comprit pas pourquoi ils étaient arrivés, un de ses hommes se chargent en général de leur graisser la patte, ils ne sont jamais venus au Tangier's, sauf Mc Flyeuse. Souvent certains font du zèle mais tout se paye, comme il aime a se dire ...

C'est la concurrence, on veut lui mettre des bâtons dans les roues, certains seraient donc jaloux de son affaire avec Capone lui même ?
Qui est vraiment Mc Flyeuse ?
Qu'est elle venue faire la ?
Juste après le départ de l'Americain en plus ...

Trop de questions pour ce soir, il rappella ses hommes et décida d'en savoir un peu plus ce soir, sur Mc Flyeuse, ils partirent au hangar, dans la nuit noire ...

Nightmare avait déja commencé l'interogatoire mais McFlyeuse ne disait rien. Elle disait juste qu'elle avait reçu un appel de ses supérieurs lui disant d'aller au Tangier. Biensur ils ne la croyaient pas pourtant c'était la vérité. Vers minuit quelqu'un frappa a la porte du hangar, c'était Padrino, Legob' et Gato' accompagné de quelques gros bras.
Padrino demanda a Nightmare ce qu'il avait appris mais celui ci n'était pas concluant et Padrino insista alors pour que Nightmare pousse l'interogatoire. Nightmare voulait attendre le lendemain car en pratiquant la torture en étant fatigué il risquait de tuer McFlyeuse. Padrino fit comprendre a Nightmare qu'il n'avait pas le choix du coups il se remis au travail. Il brancha alors des fils et mouilla la tète de McFlyeuse, celle ci reçut une décharge puissante qui la fit hurler, ensuite elle supplia Pradino en sanglotant qu'elle ne savait rien. Nightmare en était sur elle disait la vérité elle n'aurait pas résister a tant de torture, les policiers ne sont pas formé pour résister a la torture.
Padrino en avait mare, il venait de conclure l'affaire du siècle et il lui arrivait plusieurs empechement de taille.
Padrino ordonna a Nightmare d'attacher solidement McFlyeuse, en effet il ne voulait pas la tuer, avoir comme otage un agent de police était plutot une bonne chose.
Padrino était tourmenté et repartis dans sa villa accompagné de Gato' et Legob' et de tous ses gardes du corps. ...

A mi chemin de la voiture il fit demi tour...
Il ordonna a LEgob et a gato' de l'attendre dehors, ceux ci sorta un flask de JD et une clope pour patienter...
cette nuit il fesait froid...

il entra dans le hangar, ordonna la meme chose a Night' et aux autres, durant deux minutes il regarda Mc Flyeuse, pendant que les autres continuaient a sortir...
Celle ci était fatigué, des cernes apparaissaient sous ses yeux, on pouvait lire dans son regard une certaine souffrance qu'elle avait enduré,mais Padrino vit un instant une lueur dans ses yeux, la meme qu'il vit lorsqu'elle lui répetait sans cesse qu'elle ne savait rien, c'est cette fameuse lueur qui fit revenir Padrino...

Dans le hangar crasseu ou il fesait froid, où l'on entendait des tôles mal fixé tapé les unes sur les autres a chaque rafale de vent, il ne restait que El padrino, et Mcflyeuse ...

Padrino sortit un paquet de Marlboro, s'en alluma une et en proposa a Mc Flyeuse :

"Mes mains" répondit elle
"Pardon ?"
"Mes mains... elles sont attachées, en général je ne fume pas mais ce soir je serais pas contre, détachez moi ou faites moi fumer..."

Après un instant d'hésitation, Padrino la detacha mais ressera fermement ses pieds, meme si elle s'echappait, il y avait peu de chose qu'elle aille bien loin, ils sont au milieu de nul part.

"Merci
-Je vous en prie", répondit el padrino en lui allumant sa clope
-Vous allez me tuer ?demanda t'elle
-je ne sais pas quoi faire de vous, vous avez de la chance d'etre une femme, sinon vous seriez deja morte croyez moi!
-Quitte a choisir, je prefererais etre morte, plutot que de subir une nouvelle fois la torture de vos zbirs !!!!
-Je sais ils sont un peu durs, le monde l'a été avec eux, aujourd'hui ils se vengent continuellement dès qu'ils en ont l'occasion, ce n'est pas personelle, ce sont juste les affaires qui veulent sa ..."

Tous deux continuèrent a se regarder dans les yeux, Padrino resta fasciné par son regard, personne n'avait encore osé lui tenir le regard comment elle avait l'audace de faire!
En tirant une énième bouffé sur sa cigarette, Padrino rompit le silence :

"Qu'êtes vous venu faire jusqu'a chez moi ce soir ?
-je l'ai deja dit, j'ai recu un appel de mes superieurs, me disant que je devait me rendre au plus vite au tangier's !
-Pourquoi?
-je ne sais pas, moi vos savez on me dit d'allerfaire telle chose j'obeis, sinon je perds mon job c'est pas plus compliquer que ça, je suit la troupe
-le monde entier n'est qu'une troupe, vous obeissez a des règles sans comprendre quoique ce soit, vous vous plaisez a vivre votre petite vie, vous et tous vos collegues et autre travailleurs, vous obeissez a un patron, vous avez peur de l'avenir comme d'un enfant qui a peur d'un loup, vous ne cesserez donc jamais votre routine pitoyable, vos petites economies pour partir deux jour en vacances, vous obeissez a un gouvernement qui ne réponds meme pas de ses meurtre et autre acte de violence que lui meme commet a travers le monde, vous obeissez a un pays, qui engrene la guerre, qui encourage a acheter des armes, SES armes, car ceci lui rapporte de l'argent, et au final vous nous courrez après, chaque matin en nous qualifiant "d'organisation criminelle" de "mafia", vous nous consacrez vos gros titres, sur vos journaux sans cesse controler par le gouvernement qui ne veut lire que ce qu'il a envie de lire, alors qu'on ne fait que profiter du "reve américain" !
vous me faites rires !"

A ce moment la une enorme rafale de vent, fit claquer plusieurs tole a la fois, Mc Flyeuse sursauta :
"qu'est ce que vous voulez? demanda t'elle
-NAN, qu'est ce que VOUS voulez, c'est vous qui etes venu jusqu'a moi, c'est a vous de me dire ce que vous voulez !
-je vous l'ai dit, j'ai simplement repondu a un appel de ms superieurs...
-je ne vous crois pas, j'ai des amis dans la police et si cela avait été le cas, j'aurai été prevenu bien avant vous!"

Padrino posa ses mains sur les accoudoirs de la chaise ou était Mc Flyeuse, se raprocha d'elle, et tout en parlant doucement :

"je saurais tot ou tard ce que vous manigancez, quelque chose cloche et je le trouverais, soit vous travaillez pour eux, et dans ce cas la votre vie ne tient plus, soit vous travaillez pour vous et on se retrouve dans le meme cas !
sauf si bien sur vous crachez le morceau toute seule, ou alors on s'en chargera pour vous, mais sa risque de faire mal, très mal, ma patience a ses limites, et votre vie aussi, reflechissez bien, vous avez toute la nuit et on verra demain matin quelle sera votre décision..."

Padrino la rattacha fermement, la regarda puis pris le chemin de la sortie du hangar, ouvrit la porte et sous le vent sa longue gabardine noir flotta legerement,il s'arreta un moment, se retourna et dit a Mc Flyeuse qu'une couverture lui sera apporter, il sortit, claqua des doigt et un bruit de voiture se fit entendre...